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"Nous ne sommes pas des mendiants. Le Congo,certes, a des problèmes, mais c’est aussi un pays d’hommes et de femmes dignes."Joseph Kabila.

Le président de la République démocratique du Congo insiste sur la souveraineté et l’indépendance que doit jouir son pays dans tous les domaines surtout pendant ce processus électoral en cours.
Dans une Interview exclusive accordée au magazine LeSoir ce vendredi 30 novembre, Joseph Kabila a répondu aux différentes questions qui relèvent de l’actualité en RD Congo parmi lesquelles figurait la question de sa vie après mandat.
Par apport au déroulement du processus électoral, il dit rester optimiste arguant que tout se passera bien.
« Nous sommes dans la dernière ligne droite avant les élections, nous
avons eu l’enrôlement des électeurs, puis le dépôt des candidatures, et, à 90 %, tout s’est passé normalement. La campagne a commencé dans le calme et cette absence d’incidents traduit aussi la maturité politique de la population. Reste le défi
de la sécurisation le jour même du vote. Après le 23 décembre, il n’y aura plus qu’à attendre les résultats. Je crois que tout va bien se passer. »
Joseph Kabila sans tergiverser ,direct dans ses mots a rappelé que la RDCongo est capable a organiser les élections a elle seule sans assisatnce des observateirs interdnationaux qui du reste selon lui je leurs pays ont déjà préparé leur rapport avant même le jour du vote d’où ajout Joseph kabila l’important ce sera surtout l’observation par les congolais eux-mêmes
« Tout simplement parce que nous ne sommes pas des mendiants. Le Congo, certes, a des problèmes, mais c’est aussi un pays d’hommes et de femmes dignes. Les pays voisins, eux non plus, ne sollicitent pas l’appui de la Monusco.Si celle-ci a des avions disponibles, elle peut certainement en faire bon usage. Je l’ai expliqué à la représentante du secrétaire général de l’ONU.
Nous avons pris l’option d’organiser les
élections nous-mêmes, ce qui nous coûte cher, mais c’est une question
d’indépendance, de souveraineté. Il est vrai aussi qu’il n’y aura pas d’observateurs envoyés par l’Union Européenne ou les États-Unis. Pourquoi devrait on les inviter, je considère que ces pays ont déjà préparé leur rapport avant même le jour du vote. L’important ce sera surtout l’observation par les congolais eux-mêmes » a t-il dit.

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