C’est ce samedi 1er août 2020 que la structure dénommée « Jeunesse Active du FCC » a vu le jour à Kinshasa. Sous la coordination de Dieudonné Nkishi, la JAFCC a pour, notamment missions de fédérer au-delà des partis politiques toute la jeunesse sympathisante du Front Commun pour le Congo.
« Nous rassemblons tous les partisans de la vision républicaine du camarade Joseph Kabila. Nous allons vulgariser et et pérenniser sa vision, arborer, inculquer et consolider à travers un activisme juvénile républicain, les valeurs intrinsèques de l’action du FCC pour le Congo, recruter et sensibiliser les jeunes aux couleurs du FCC », a dit Dieudonné Nkishi dans son discours.
La JAFCC entend instituer un leitmotiv sur les idéaux qui animent l’action publique en matière de la citoyenneté et de la refondation de l’État.
« Au fatalisme de certains rencheris d’arguments incendiaires, nous préférons l’action militante et patriotique du renouvellement. Loin de nous l’intention de croire en la théorie de la génération sacrifiée. Nous augmentons le pari d’une jeunesse active, engagée et participative, sous l’encadrement du leadership de notre famille politique », a souligné le coordonnateur de la JAFCC.
Dieudonné Nkishi refuse, cependant, de laisser « les anarchistes saper le FCC en usant de la politique de diabolisation, de l’intoxication et de la désinformation ».
« C’est ainsi que nous encourageons tous les répondants de la coalition à œuvrer pour la préservation de celle-ci, car son échec sert d’abord celui du peuple congolais qui milite sans cesse pour la consolidation de sa jeune démocratie. Il sera ensuite, l’échec de ceux qui ont promis monts et merveilles présentant l’autre non pas comme partenaire mais un diable à détruire. Il pourrait être un échec de notre famille politique pour n’avoir pas probablement expliqué suffisamment aux autres la profondeur de l’idée de la coalition », a conclu Dieudonné Nkishi.
La sortie officielle de la Jeunesse Active du FCC a eu lieu au centre pour Handicapé situé dans la commune de la Gombe, à Kinshasa.
Rachel Kitsita
