La résidence et la personne de James Anderson Nzale Longbango, défenseur des droits de l’homme, est en situation d’espionnage et en insécurité par des personnes non autrement identifiées, a alerté dans un communiqué parvenu ce dimanche 17 janvier à Actu30.cd, le Centre international d’études géostratégiques pour la recherche, la défense, la sauvegarde, la surveillance, la protection et la promotion de la démocratie, des droits de l’homme, de la paix internationale et du développement intégral (CIEGS).
Cette organisation des droits de l’homme qui dénonce et condamne « vigoureusement » ces actes, note que c’est depuis quelques jours que son président reçoit de part et d’autres des rapports faisant état d’un groupe de personnes inconnues qui viennent l’espionner et chercher des informations dans le quartier autour de sa personne sous couvert qu’elles seraient des pasteurs.
« Cette façon d’agir crée beaucoup de frustrations, de la désolation autour du défenseur des droits de l’homme James Anderson Nzale, président fondateur et président exécutif international du CIEGS et crée aussi une situation d’insécurité totale et généralisée autour de sa personne ainsi que sa famille et de ses collaborateurs, amis et connaissances », rapporte ce communiqué.
Le CIEGS lance ainsi un appel urgent aux autorités du pays et de la ville de Kinshasa en particulier afin que soient mobilisés et déployés tous les services de sécurité à la recherche de ces inconnues et que cessent ces actes d’espionnage.
« Le CIEGS demande à toute autorité compétente de la RDC de prendre rapidement toutes les dispositions utiles, urgentes et nécessaires qui s’imposent afin de garantir rapidement la sécurité et la paix du défenseur des droits de l’homme James Anderson Nzale Longbango », déclare cette structure.
Corneille Lubaki