L’initiateur du Festival « Kongo River », Vincent Kunda, a présenté, vendredi 04 novembre 2022, à Kinshasa, le rapport de la 2ème édition de cet événement tenu du 14 au 19 juin de l’année en cours.
En effet, il s’est réjouit du bon déroulement de la deuxième édition du « Festival Kongo River » qui était placée sous le signe « de la protection et de la promotion du Fleuve Congo ». Il a fait savoir, à cet effet, que les objectifs assignés à cette édition ont été tous atteints.
« La deuxième édition a connu un franc succès, en termes d’objectifs poursuivis et d’engouement populaire. En effet, l’objectif de réunir plus de 5.000 festivaliers a été largement atteint puisque les 3 journées de la partie festive chez Tintin à Kinsuka ont rassemblé plus au moins 6.000 personnes, et ce succès, nous le devons essentiellement à la contribution généreuse tant matérielle, qu’intellectuelle de nos principaux partenaires et sponsors, sans oublier la bienveillance des autorités publiques ainsi que le concours des personnalités notables et de toute l’équipe d’organisation Kongo River », a dit Vincent Kunda.
Il a profité de l’occasion pour remercier ces partenaires, plus particulièrement la BRALIMA qui l’accompagne depuis la première édition.
« La BRALIMA est un grand partenaire qui nous aide à réaliser ce festival. Elle a une responsabilité sociétale pour la préservation de l’eau, et avec l’eau, nous envisageons dans l’avenir faire beaucoup des projets avec la BRALIMA, car du côté de la communication, de la logistique, la BRALIMA nous aide énormément. Ça démontre l’engagement de cette société pour la préservation de la nature, c’est ici l’occasion pour nous de la remercier pour son aide à la sauvegarde de l’environnement », a-t-il conclu.
Par ailleurs, l’organisateur a primé 5 lauréats du concours de la poésie qui ont reçu chacun des divers prix et des différents cadeaux pour la perfection de leurs talents.
Il sied de noter que Festival Kongo river est un festival holistique qui s’appuie sur la valorisation du majestueux fleuve Congo et de son bassin.
Josué Bengbazo
