Le Conseil d’administration de l’Institut national de préparation professionnelle (INPP) fait savoir qu’un arrêté qui circule sur les réseaux sociaux sur les prétendus avantages colossaux accordés aux mandataires actifs et non actifs de cet établissement, est un faux.
À travers un communiqué signé par Jean-Marie Lukulasi, président du Conseil d’administration, et Godefroy Stanislas Tshimanga, directeur général, cet établissement affirme que ce document est fait à dessein pour nuire à l’image de la ministre du Travail, emploi et prévoyance sociale.
»Le Conseil d’administration de l’Institut National de préparation professionnelle (INPP), constate avec regret qu’il circule sur les réseaux sociaux un arrêté faisant état des avantages sociaux des mandataires actifs et non actifs de cette institution. Il informe l’opinion qu’il s’agit là d’un faux arrêté élaboré à dessein par les ennemis de la Nation de manière à nuire à la réputation tant de son excellence madame la ministre de l’Emploi, travail et prévoyance sociale qu’aux membres du Conseil d’administration », peut-on lire dans ce communiqué.
Par ailleurs, le Conseil d’administration de l’INPP dit se réserver le droit de traduire en justice les personnes mal intentionnées qui sont à la base de ces faux bruits dans le net qui, du reste, constituent des faits pénaux selon la nouvelle règlementation sur le numérique.
Dans un arrêté prétendument signé par la ministre de l’Emploi, travail et prévoyance sociale, répandu sur les réseaux sociaux, le PCA de l’INPP, par exemple, toucherait mensuellement 30.000 dollars américains alors que le directeur général plus de 30.000 dollars américains, sans compter d’autres avantages.
Josué Bengbazo