Dans le cadre des consultations nationales lancées depuis le lundi dernier, le conseiller spécial du chef de l’Etat a reçu ce jeudi 27 mars, Guylain Nyembo, à la tête d’une délégation du regroupement politique AABG.
Pour le vice-premier ministre en charge du plan, il était question pour son regroupement d’apporter leur contribution en vue de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale afin de lutter contre l’agression Rwandaise.
« Ce que nous pouvons dire aujourd’hui est que le chef de l’État.a besoin que tout le monde se mette derrière lui pour que nous puissions obtenir une solution définitive à la crise qui sévit dans la partie est de notre pays. Donc, voilà pourquoi nous nous sentons concernés par cet exercice et nous espérons que celà va apporter du fruit que nous recherchons tous pour que notre pays puisse continuer son chemin vers le développement que nous avons déjà entamé », a déclaré Gylain Nyembo, ancien directeur de cabinet du chef de l’Etat.
Pour lui, la mise en place du gouvernement d’union nationale passe par une question d’efficacité pour exécuter le programme du chef de l’Etat.
« Le mot clé ici que je peux dire c’est une question d’efficacité en terme de la mise en oeuvre du programme du gouvernement et comme vous le savez c’était un travail qui était déjà en cours et dans cet exercice tout ce qui peut être composé doit rester dans cet esprit là pour que le pays puisse poursuivre les efforts déjà entamé. Mais ce qui est important c’est que l’impact puisse être visible au niveau de nos concitoyens, mais aussi en même temps que la réponse que nous recherchons tous sur le plan de barrer la route à ceux qui viennent nous perturber dans cette voie que nous avons déjà tracée puisse être clair devant nous », a-t-il soutenu.
Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe, Augustin Kabuya, Modeste Bahati ou encore Christophe Mboso ont été tous reçus lundi dernier par le conseiller en matière de sécurité du président de la République.
James Arjoun M.