A la tête du Cadastre minier (CAMI) depuis une année déjà, le directeur général Popol Mabolia Yenga est revenu, ce vendredi 23 août au cours de son deuxième café de presse, sur les avancées enregistrées depuis sa prise des fonctions, ainsi que sur les défis à relever.
Dans le cadre de cet exercice de redevabilité auquel ont pris part des étudiants, députés et experts du secteur minier, le DG de CAMI a notamment mis un accent sur la réorganisation du travail.
« Cela fait un an que nous sommes là, nous avons commencés par l’assainissement de notre fichier cadastral, et cela est fait. Nous nous sommes concentrés sur la réorganisation de notre cadastre minier, nous avons ouvert quelques bureaux à l’intérieur du pays pour améliorer notre proximité auprès de la population », a déclaré le directeur général de CAMI.
Il a réitéré sa volonté de soutenir la recherche scientifique, les analyses et les études visant à identifier les problèmes liés à l’application du code minier.
Le CAMI, faut-il le rappeler, est un établissement public à caractère scientifique et technique doté d’une personnalité juridique, jouissant de l’autonomie administrative et financière. Il est chargé de la gestion du domaine minier ainsi que des titres miniers et des carrières.
James Arjoun M