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RDC : La première dame Denise Nyakeru Tshisekedi apporte son soutien aux femmes de lettres congolaises

La présidente de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi (FDNT) a participé, vendredi 25 octobre dernier à Kinshasa, au lancement de l’association des Femmes de Lettres Congolaises (FELCO).

L’objectif de cette rencontre était notamment de célébrer la femme congolaise au travers des textes des femmes de lettres congolaises. Il s’agissait en même temps « de communiquer aux spectateurs, à travers un spectacle divertissant et de qualité, les réalités des femmes congolaises ».

La première dame Denise Nyakeru Tshisekedi a, pendant deux heures du temps, découvert l’écriture féminine congolaise tout au long de ce spectacle placé sous le thème : « Femme, pose des mots sur tes silences ».

Au total, 15 femmes de lettres congolaises de toute génération confondue ont exposé et interprété leurs propres textes mais également les textes de leurs autres congénères de la diaspora, « ,tout en mettant en lumière les souffrances, violences conjugales et sociétales, abus sexuels, héritage, drépanocytose, résilience et courage de la femme congolaise », question de sonder le silence intérieur des femmes et surtout les travers socioculturels de la société congolaise fortement masculinisée.

Par ailleurs, la présidente de la FELCO, Yollande Élève Matembo Elebe, a souligné que son association compte soutenir la vision de la Première dame Denise Nyakeru Tshisekedi, à travers notamment les 4 axes prioritaires de sa Fondation : l’éducation, la santé, la lutte contre les violences basées sur le genre et l’autonomisation de la femme congolaise.

« Nous sommes honorées par la présence de la Première Dame. Nous avons été touchées par ce qu’elle fait et nous l’avons contactée parce que nous avons aimé voir par ses actions qu’elle est très portée sur l’éducation de la jeune fille. On ne peut devenir femme des lettres que par le fait qu’on soit passé par l’école. Son combat pour la promotion et l’autonomisation de la femme nous touche beaucoup », a dit Yollande Elebe.

Corneille Lubaki

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