Au moment où le monde entier celebre la journée mondiale de la liberté de la presse, les journalistes hommes et femmes de médias de la ville de Kisangani en particulier se sont donnés rendez-vous dans la cours de l’hôtel de ville.
Cette organisation de la coordination provinciale de l’Union Nationale de la presse du Congo ouverte par son président a.i Magloire Bolunda avait connu la participation du maire a.i Eugénie Wandandi et Sylvain Masudi de la section droit de l’homme de la MONUSCO qui se sont succédés au podium comme plusieurs autres intervenants, membres de l’UNPC-Tshopo.
Si le maire a.i de Kisangani a rendu hommage aux journalistes de médias, celui de la MONUSCO a profité de cette journée pour rappeler les journalistes aux respect de directives dans l’entretien, l’assistance sur les instruments juridiques portant protection des journalistes.
Ernest Mukuli, secrétaire provincial de l’UNPC/Tshopo qui a basé son exposé sur la «désinformation» a trouvé des mots justes pour donner quelques conseils aux journalistes.
«Le thème central cadre avec ma thématique. La désinformation de journaliste ne dois pas appartenir à un seul médias et il y a pas des médias sans journalistes, celui-ci doit cependant dans sa close de conscience, avoir réellement la confiance du public. La prudence s’oblige également dans la collecte…», a dit Ernest Mukuli.
Il a également appelé ses pairs à l’indépendance, surtout ceux des médias en ligne qui sont plus exposés aux désinformations à cause des réseaux sociaux.
Les femmes étaient également encouragées par Thethe Bongundja, présidente de la dynamique des femmes reporters de la Tshopo.
«Les femmes sont bien visibles aujourd’hui dans les médias, et elles sont actives dans plusieurs services du domaine. J’en suis fière dans le sens de la participation de celle-ci dans le métier de journaliste aux côtés des hommes. Je me félicite de voir que la femme a maintenant cette liberté d’expressions par rapport aux jours passés. Je les appelle ainsi à ne pas s’exposer à la désinformation», dit-elle.
Pour rappel, les conditions sociales des journalistes sont précaires, selon plusieurs observateurs.
Germain Busoke Duperso
