Le candidat sénateur George Mukuna s’est approché de députés provinciaux du Kasaï Oriental, le vendredi 26 avril 2024, dans le cadre de la campagne électorale pour les sénatoriales prévues le lundi 29 avril prochain.
A l’assemblée provinciale du Kasaï Oriental, il a présenté aux élus, – qui sont électeurs pour les scrutins des gouverneurs et des sénateurs, conformément à la Constitution -, ses ambitions pour l’essor de cette province.
Pour George Mukuna, le développement de l’espace Grand Kasai est inéluctablement tributaire à son désenclavement qui passe principalement par la construction des infrastructures routières pouvant permettre l’acheminement des biens et services et ce, dans l’intérêt économique de la Province du Kasai Oriental.
Il précise qu’on ne peut pas concevoir de gros projets sans penser aux routes et à l’électricité. A l’en croire, le Congo a tout sauf rien et ce n’est qu’une question de volonté.
Une fois élu, le candidat numéro 23 entend se battre, sans désemparer, pour obtenir du gouvernement national des solutions claires aux préoccupations de l’espace Grand Kasaï. Il se présente comme l’un de ceux qui croient, de manière ferme, à la matérialisation de la vision du président de la République, Félix Tshisekedi, pour le développement économique de la RDC.
Georges Mukuna, l’homme de la politique du désenclavement, a un profil bien estampillé de ses différentes actions sociales, comme pour signifier que son entrée en politique n’est nullement motivée par les besoins de s’enrichir.
Le grand souci de ce candidat sénateur, apprend-on de ses proches, est de voir les générations futures, s’approprier les produits bruts de leurs richesses naturelles, don de Dieu Tout-Puissant à la nation congolaise.
Cet entrepreneur contribue à l’émergence de la classe moyenne et à la création d’emplois, par ses investissements dans différents secteurs. Grâce à George Mukuna, le « lac Mukamba » est transformé non seulement en Site touristique, mais également en lieu de pêche et élevage. Les poissons appelés tilapia sont à ce jour, consommés dans cette partie du pays alors qu’à l’époque, personne ne pouvait parler de cette espèce dans l’espace Kasai.
Corneille L.
